Façade Méditerranée
L’équipe du débat a élaboré de nombreux partenariats, avec les Centres Permanents d’Initiative pour l’Environnement (CPIE) pour aller à la rencontre des jeunes et du grand public ou encore avec « Les Petits Débrouillards » PACA et Occitanie, une association travaillant avec différentes structures locales, pour rencontrer des publics variés et recueillir leurs contributions. Des événements ont été initiées dans des lieux peu familiers de ce type de dispositif tels qu’une aire d’accueil de gens du voyage, un centre pénitentiaire, une maison pour les séniors et des quartiers prioritaires.
Au total, 22 événements ont associé 500 personnes habituellement éloignées des processus participatifs.
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Façade Normandie et Hauts-de-France
Divers partenariats ont été noués, notamment avec l’IUT Grand Ouest Normandie, le collège Louise Michel d’Alençon, l'association SOS LAISSE DE MER, les Papillons Blancs. Un groupe paritaire de 25 personnes concernées a été mis en place pour des sessions de formation, de co-construction et de débat. Ce projet, pilote du projet européen Phoenix, a abouti à l’organisation par les associations embarquées de 6 événements consacrés au débat public,
Au total, 14 événements ont touché 500 personnes grâce à des dispositifs co-construits, ludiques et portés localement dans des espaces familiers de publics souvent invisibilisés.
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Façade Bretagne et Pays de la Loire
Un partenariat avec « Les Petits Débrouillards » a permis des interventions pédagogiques dans des établissements en quartiers prioritaires et notamment la réalisation de fresques de la mer en débat. Une rencontre publique accessible aux publics sourds et malentendants a également été organisée avec une traduction en langue des signes françaises (LSF), une transcription audiovisuelle par vélotypie et une boucle magnétique pour les personnes appareillées.
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Façade Nouvelle-Aquitaine
Des contacts avec divers établissements, tels que des administrations hospitalières et pénitentiaires, des réseaux de centres sociaux et des maisons d'accueil spécialisées, ont permis à des jeunes en difficulté de participer au débat, grâce notamment aux interventions de deux missions locales et à la diffusion des outils numériques du débat comme « La mer en débat : Faites l’expérience ! » par l’Institut National des Jeunes Sourds.
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Ce qu’il faut retenir
L’égalité de la parole et de son traitement : Les participant.e.s aux modalités inclusives ont pu s’informer et partager leurs arguments au même titre que tout autre participant du débat. Leur parole a été considérée égale et les thématiques abordées ont majoritairement reflété les préoccupations générales du public. Ceci-dit, les enjeux socio-économiques, de justice sociale et territoriale ainsi que la question des migrations ont été plus souvent abordés que dans d’autres modalités.
Mettre au cœur l’inclusion : L’équipe du débat recommande de construire des partenariats de confiance avec des structures de l’inclusion, de prêter attention aux différences de temporalité entre les débats publics et les organisations, et de concevoir des outils et langages inclusifs. L’usage de la méthode facile à lire et à comprendre (FALC) et des infographies accessibles, ainsi que la médiation par l’image, la maquette ou le corps, sont fortement encouragés.
La façade Normandie – Hauts de France a terminé le débat par une évaluation du groupe d’inclusion, qui a proposé des recommandations pour une inclusion réussie. Pour plus d'informations, consultez le site dédié en cliquant ici.
- Publié le 18/07/2024
- Date de dernière mise à jour : 18/07/2024